Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Nm Dagaz

10 juillet 2012 2 10 /07 /juillet /2012 00:00

Trying to live with my pain, my life never be the same
Taste me as into a game, I need suffering to become insane
Trying to tell one hand to escape from this pain
I love my selfdestruction cause everyday grows my addiction
No more thing keep myself just a little something
Which helps my mind to get well even face at my own death
Playing against myself, my life has no matter
Trapped inside my illusion, living into another world with my dreams
Life become useless, attracted by my need of an eternal sleep
Your world has no happiness, day after day despair my rules, my act, my dreams
Death's just an escape through nothingness
Nothingness I say, do you understand?
Let me just hope again, all the thins I'll can never touch
Unreality flow in my veins, roaming across another dream,
Enigma of death

Crying, shooting again and again, a vast pleasure across my memories
Shorted existence burnt si fast to die into our reality
To forever touch eternity behind the mirror of illusion
Pictures of my forgotten past, no more thing keep my self
Just a little something which help my mind to keep well
Even face of my cold grave, playing against myself
My life has no matter, trapped inside my illusion
Living into another world with my dreams, life become useless
Attracted by my need of an eternal sleep, your world has no happiness
Day after day despair my rules, my act, my dreams
Death's just an escape through nothingness
Nothingness I say, do you understand?
Let me just hope again, all the thins I'll can never touch
Unreality flow in my veins

 

®NDM

Partager cet article
Repost0
10 juillet 2012 2 10 /07 /juillet /2012 00:00

The smell of divine earth's flying like an insane crow
Possessed by the cold in an ultimate embrace
She's crying but it's too late
The dusk is calling the great dark storm
The wind's starting the forbidden dance
And amoung the clouds the anciens are singing
The wind violently's waving, happy in sadness
The dusk is calling the great dark storm
Rain's falling from the blue night
She's offering her lunacy
Like an ever flowing tears she cry
The smell of divine earth's flying like an insane crow

The dusk is calling the great dark storm

Chaos has descended in world
Only sadness and sorrow
Take place in this burial place
Where human spirit still whinge
About their lies unfinished
The dusk is calling the great dark storm
Neither god, nor master
All are in total confusion
An irrational pleasure
Invade sky and earth
They laugh about the falling human race
The dusk is calling the great dark storm
Rain's falling from the blue night
She's offering her lunacy
Like an ever flowing tears
Through this fateful scene
The great dark storm is finally here
Chaos has descended in world

The dusk is calling the great dark storm

The dusk is calling the great dark storm

 

®NDM

Partager cet article
Repost0
10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 00:09

Les ténèbres réclament mon corps ingrat, que faire que dire? Je ne sais pas. J'eus une mission pas très bien menée... en fait en tout point j'ai merdé !

De Cendrillon, je devais prendre la pantoufle de verre, et la rapporter à ce dieu pervers. Une fois dans le conte tel un ninja, j'allais à pas sûrs vers ma proie. Mais là je fus choqué de mon inculture, ne sachant choisir quelle pointure : De fourrure pantoufle de vair, ou double feuilletage pantoufle en verre.

Pantoufle de vair ou en verre... Que faire ? Je ne pouvais ramener au mal qu'un objet, mais le [ver] du conte avait ses dérivés...

Je ne savais pas qui avait créé Cendrillon, mais il y en avait d'écrit au moins deux versions. J'avais choisi celle de vair, Cendrillon serait princesse. Princesse des enfers, j'avais tenu promesse. Je ramenai le trophée au mal tout puissant, j'avais triomphé J'étais un demi-dieu à présent ! Victoire du mal ! Victoire du mal !

Mais au fait le conte a continué à se dérouler normalement, et alors que les ténèbres rageaient, moi, j'arrivais tout bandant.

A peine entré dans l'antre des enfers, je me fis humilier comme un malheureux ver. Mon arrêt de mort était signé, Satan voulait que je sois écorché. Perrault dans ses contes originaux avait pris comme matière le verre clair comme l'eau. Mais moi j'avais choisi, misérable et sans tact, le vair mythoné par Littré et Balzac...

 

®NDM

Partager cet article
Repost0
10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 00:07

La caisse bombait à ouate mille à l'heure et il était prêt.. Il traçait à travers les champs obscurs une faible ligne de lumière due a son phare cassé. Rien ni personne ne pouvait l'arrêter... Seul un arbre ou une embardée. D'ailleurs ce fut le cas puisque voila ce qu'il s'est passé :

Coupant la courbe un cerf surgit, style complètement ahuri. Deux secondes plus tard il était sans vie, complètement fini, arraché, démonté... Le choc fatal fit grand fracas, et de l'animal le sang gicla. A travers le pare-brise la bête passa, mais le véhicule fila droit, acharné, décidé... L'art n'est art que primaire, suicidaire.

La beauté de l'accident, sous la lune divine. L'aspect resplendissant d'une nouvelle discipline... Symphonie chaotique, éclats, bris de verre. Le sang pour chromatique, l'acte de mort presque involontaire. Débris en suspend dans l'air, romantisme sous-jacent, début d'un mouvement empreint d'esprit primaire...

Soudain le bolide partit de travers, sans adhésion à la terre. Rebondissant, il fit le grand saut, allaient commencer les tonneaux, le rodéo soubresaut... Les corps coupés furent mélangés, et de bouts de tôle agrémentés. L'installation fut terminée, un chef-d'œuvre était né d'une guerre éphémère... L'art n'est art que primaire suicidaire.

La beauté de l'accident, sous la lune divine. L'aspect resplendissant d'une nouvelle discipline... Création surréaliste d'une cohérence crédible. Sculpture indescriptible aux couleurs mélangistes. Comme des sacrifices à l'art, d'une émouvance que trop rare, la fin de destinés pour que l'œuvre soit créée...

L'art n'est art que primaire, suicidaire... Devant tant de beauté, personne ne fut touché. Ils nettoyèrent en paix, marmonnant leur piété. Ils détruisirent ce qu'ils ne pouvaient reconstruire : L'œuvre était finie totalement anéantie. Adieu reconnaissance, rien ne fut épargné ! Quelle trop courte existence, que de talent gâché ! Bientôt ne restèrent plus que des traces sur le sol, témoins impromptus de cette course folle. Le chauff'art avait signé son art !

Le seul hic de cette histoire, et qu'il est important de savoir, est que ce type n'avait jamais voulu faire d'art... Qu'il n'était en fait qu'un banal crétin de chauffard ! Et merde

 

®NDM

Partager cet article
Repost0
10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 00:07

Un matin j'ai senti ce que je ne voyais pas.
Les choses étaient dans l'air, palpables de par mon nez.
Sur le coup j'ai pas compris, je ne réagissais pas.
J'étais encore dans le jazz, pas vraiment réveillé.

Tout ce qui existe sent, bien plus qu'on ne l'imagine.
Assailli de partout, l'olfactif turbine.
Les droits d'odeurs seraient bien chers je crois,
si tout le monde sentait comme moi ce matin là.


Ce n'est qu'en sortant que je m'en suis rendu compte.
J'en prenais plein la face, j'en avais plein le pif.
Je sniffais des trucs intenses j'en avais presque honte,
puis j'y ai pris plaisir c'était si jouissif...

Tout ce qui existe sent, bien plus qu'on ne l'imagine.
Assailli de partout, l'olfactif turbine.
Les droits d'odeurs seraient bien chers je crois,
si tout le monde sentait comme moi ce matin là.


[feat. TAIPAN] : "Mon pote l'horreur, j'me fais foutre hors du pieu par ma propre odeur. Le nez trop open comme un un keuch qui tourne au poppers, avec la voix de Joe Cocker dans un vocodeur. Des 5 sens j'ai plus que l'odorat, trop d'honneur ! Mes chaussettes me mattent comme des maraudeurs. Dehors, même truc, j'inspire ça pue la merde, j'expire ça pue l'amertume. L'air est humide mes pensées se noient. La thune n'a pas d'odeur : j'ai rien dépensé ce mois, cette vertu me met en transe et se marre. Dis moi comment ce truc qui s'est déclenché se barre."

J'sentais. J'sentais des trucs.
Ca sent ça sent mon odorat exulte, 'émule'.
Sentir, sniffer sans cesse l'essence de l'existence.

Mille n'en faisaient qu'une, quintessence d'existence.
Chacune d'elles si réelle, les odeurs formaient tout.
Un quasi-monopole, sorte de proéminence.
Finalement j'ai pris peur de ce pouvoir grave chelou.

Et j'ai cessé de triper, grosse chute d'adrénaline.
Réalité oblige, l'écrit retourne à Süskind.
Les droits d'odeurs seraient bien chers je crois,
si tout le monde sentait comme moi ce matin là.



 

®NDM

 

Partager cet article
Repost0
10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 00:06

Sensation passée Peur de revenir Puis-je ouvrir les yeux Ici ou ailleurs ?
Ailleurs je crie et pleure mon passé mais c'est ici que je vis au jour le jour la laideur
Stagnant je rêve de n'être plus moi car stagnant je sais que je ne suis pas là
Le mal est encré cyclique retour en arrière
Paradoxe invivable
Soit devant soit derrière

Flash-back Backflash
Fantôme du passé J'voudrais avancer
Passé de haine !

Retour en arrière, plongée dans le passé
Soirées ravivées en sauvages épopées
J'ai perdu le fil et soudain je suis là
Que faire, que penser, je ne sais trop où aller
Ma mémoire se ravive, les lieux sont comme avant
Nous les avons quitté il y a d'ça des années
L'décor est fixé, je marche, je regarde
Tout l'monde est pareil y'a que moi qu'ai changé.

Flash-back Backflash
Fantôme du passé J'voudrais avancer
Passé de haine !

La musique s'écoule métal du bourrin
Je ne sais pas quoi penser, est-ce futur ou passé ?
Mon esprit déraisonne ça s'en va et ça revient
Mais les p'tits liens sont sans fin c'est l'happy-end qu'j'attends en vain
Soudain, je la vois, je crois qu'elle est là-bas
C'est elle, elle est là, pute de l'apocalypse
Décor, musique, ambiance, c'est l'éclipse
J'préfère me casser, la folie c'est fini

 

®NDM

Partager cet article
Repost0
10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 00:05

Au bar tu languis et je ne peux résister, tes yeux m'aimantent et m'attirent si ce n'est ton corps exposé. Tu m'invites à m'asseoir je m'exécute, et bien que près de toi en rien je ne percute. Je ne sais rien de toi assurément moins que toi, mais j'ai le cœur à la dérive en proie à l'émoi. Deux ou trois mots suffisent à accorder nos diapasons et la passion l'emporte sur la décence et la raison. Tu es si jolie c'est les dieux qui m'ont béni, mais ceux-ci restent espiègles et aiment perturber nos vies. L'alcool nous monte a la tête et nos corps se frôlent : épaule contre épaule nous perdons tout contrôle.

Une histoire à l'eau de ronce, tant pis j'y cours j'y fonce. Une histoire à l'eau de ronce, dans laquelle je m'enfonce.

Ta voix rauque résonne dans mes entrailles et mon bas ventre, et sur la piste de danse de tous regards nous sommes le centre. Tu te frottes à moi, une prépondérance me lance, se choque à une excroissance dont je ne cerne pas l'évidence. La nuit débute à peine, mais elle s'annonce torride en compagnie de cette reine. Tout tourbillonne, tournoie, vacille, lovée tout contre moi de sa langue elle me titille. Je n'en puis plus et lui propose mon gîte, sans hésiter une seconde la belle accepte mon invit. Je compris plus tard, trop tard, que la reine était roi. Mais l'osmose étant parfaite je m'accommodais de cela.

Une histoire à l'eau de ronce, tant pis j'y cours j'y fonce. Une histoire à l'eau de ronce, dans laquelle je m'enfonce.

Tu n'es pas Elle tu es Il pourtant si désirable. Femme à un détail près tout cela reste concevable. Sublime et splendide tu rayonnes de beauté, les vraies femelles t'envient, les hommes se pâment subjugués. Et quand le réveil sonne j'admire tes formes et ta forme, et je conçois en cela que nous soyons non conformes. Mais quel plaisir de t'aimer au-delà de ton identité, que tu sois né(e) Gérard ne t'empêche pas d'être Gégé.

Une histoire à l'eau de ronce, tant pis j'y cours j'y fonce. Une histoire à l'eau de ronce, dans laquelle je m'enfonce.

 


®NDM

Partager cet article
Repost0
10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 00:05

D'une étincelle je pars, je cours, je grimpe, j'exulte, J'me propage sans présage, le carnage est mon culte. Cultivateur de braises pleines d'ardeur, J'm'attarde en blasphémateur, marque autant qu'j'peux ma terreur. Tyran, j'maîtrise l'espace et les vents, maître sinon dieu mon reigne se joue du temps. Mes sinistres sont grandioses, osés et sans pitié, Consumables ou pas, tout finit au sein d'mon brasier. (Alors cesse, et accepte mes caresses, Rien ne sert de fuir, c'est toi qu'je désire.) J'gagne du terrain car ce monde est mien, L'élément feu incarné, quelque peu illuminé.

Brûle, Brûle...

criminel incendiaire, ou cuisinière sans cervelle, Ils sont suppôt involontaire de ma puissance caniculaire, J'dépasse toute pensée, et encense ma fierté, J'suis luxurieux à souhait, ardent, torride et agité. (Ta course est vaine, Tu es la prochaine) J'brûle de désir, ma force se fait sentir, J'brûle le désir, j'aime à anéantir...des feux impurs resurgissent, prennent formes et sens et me créaient, L'inconscient devient conscient, j'incarne le feu transcendé J'consumme, je calcine, je brûle, J'inocule tout crépuscule, mes armées jamais ne reculent, Je suis le seul qu'elles adulent....

Brûle, Brûle... Indécente incandescence. Brûle, brûle...

(Et bien que sacrifice, tu brûles en tentatrice) Les cieux crachent sur la terre par le biais de leurs éclairs J'offre de grands bûchers de guerre En digne signataire sévère. On m'dit soumis, dressé par dieux et hommes. Puissance élémentaire, j'prouve le contraire, j'fais l'maximum. Personne n'me possède, je suis bien plus que chaire. J'brandis ma connaissance ultime, tandis qu'Héphaïstos me perd. Mon foyer grandit, mon orgueil renchérit. J'suis corps et esprit, sans répit mépris. Tel Prométhée attaché, écroué, son foi en proie au désarroi, L'homme ne vaut pas, l'aigle le dévore, Prométhée a eut tord.

Brûle, Brûle...Indécente incandescence. Brûle, brûle...

 


®NDM

Partager cet article
Repost0
10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 00:04

Sensualité puissante, cris ambigus.
Images cinglantes, formes charnues.
Troublant d'érotisme, avide de plaisirs.
Extases plurielles, envie d'assouvir.
Leurs corps me font frémir même en milliers de pixels.
J'imagine la scène, comme si elle était réelle.
L'acteur X s'active, l'actrice X subit.
Entre "Rew " et "Forw", je nique la bande du film.

Obsession. Obsessions d'indiscrétions.

L'histoire vite résumée se concentrerait en cela :
Un type se tape une meuf et en tome dingue fada.
Puis malheureux il est, car tout le monde se la met.
Mais il aime et la suit, devenant hétéro gay.
Faut finir la partie, trouver la scène qui flashe.
Souvent dans les classiques, c'est dans la bouche qu'ils se lâchent.
Une fois qu'elle fut souillée, j'ai sentit le truc monter.
Oh ouais! C'est ça vient, du bon porno chiadé

Obsession. Obsessions d'indiscrétions

J'ai donné dans l'Dogging l'undercovered amateur
Le gangbang bukkake anal creampie gaper
Les castings, les webcams, les homade, les first time
Les gloryholes blindfold, et les violents deeptroath
Double triple anal, 5 ou 6 gars in mouth
Des convulsions reelles double plugged dementiels

Elle a testé mon beat
En déhanchement explicites
Quand le tempo débite
Elle aime quand le son l'habite

 

®NDM

Partager cet article
Repost0
10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 00:04

Je n'étais personne pas même un simple je, un vivant insignifiant au sein du grand jeu. Alors que les tu invitaient les vous à venir faire la bringue chez les elles et les ils, moi je restais seul, trop seul à mon goût, en première personne du singulier inutile. Je n'étais rien, je n'existais que pour moi, même les miroirs ne me réflétaient pas. Et soudain elle intervint dans ma vie. Ce doux rêve, ce sujet : cette fille. Mon pronom devint pluriel avec elle d'un accord charnel, passionnel, fusionnel

Je tue elle l'impersonnelle. Ce sujet, ce pronom, mon moi au pluriel. Je tue elle l'impersonnelle. Ce sujet, mon moi au pluriel

Elle que tout le monde aimait, que tout le monde chérissait. Elle cette entité, cette personnalité. Elle m'a choisi d'un geste, d'un regard, Elle a donné à mon moi ses égards. Elle m'a fait naître sous un nouveau jour : réel, concret et empli d'amour. Le je n'étais pas, c'était "tu" c'était "nous", des "on", des "eux", des "leurs", des "ils", des "vous". Nous étions Un pour que je sois : Je suis toi, tu es moi, prémisse de désarroi. Mon Je s'emplit de Nous, se regorgea d'Elle, La vampirisa, au-delà du textuel

Je tue elle l'impersonnelle. Ce sujet, ce pronom, mon moi au pluriel. Je tue elle l'impersonnelle. Ce sujet, mon moi au pluriel

Je tue elle pour enfin être je. Je tue elle, crime passionnel orgueilleux. Je tue elle : je suis, j'existe, je veux. Je tue elle : je suis maître du jeu. Je tue elle, comme un crime passionnel

Plus de pluriel, je suis un, un singulier présent, j'existe enfin. Elle n'est plus mais je vis, Elle n'est plus mais je suis. Mon moi transcendé je grandis je suis désormais maître de ma vie. Elle n'est plus que le souvenir de mon moi meurtri, et le repaire de ma nouvelle existence. Je tue elle pour enfin être je... en apparence

Mon orgueil s'éprend de chair, ce crime passionnel dans ma vie interfère, m'apporte la lumière

 

®NDM

Partager cet article
Repost0